Gwenael lors de la visite. |
Quels sont donc ces petits bouts de cartons que l'on s'échange, que l'on collectionne, avec lesquelles on joue aussi… et parfois lors de championnats du monde ?
L'exposition présente des dragons, des guerriers, des monstres, appartenant à trois mondes différents.
Le Lotus noir. |
Pourquoi ? Parce que, loin d'être de simples cartes à collectionner, ce sont les œuvres originales d'artistes comme par exemple, Magali Villeneuve (ci-contre) et son Mystique Elfe (ci-dessous).
Puis nous plongeons dans le monde du Yu Gi Oh ! (qui signifie le Roi des Jeux), créé à partir d'un manga avec le puzzle du Millennium. 60 cartes sont répertoriées, faisant référence à la mythologie égyptienne.
Enfin nous voici dans la partie Pokemon que beaucoup connaissent. Son nom vient de la contraction de Pocket Monster. On y découvre des monstres, des fantômes, des personnages extraordinaires comme le célèbre Pikatchou, dont nous parle Gwenael (ci-dessus). Venu du Japon, il naît à partir d'un jeu video. Nous pouvons admirer les 102 cartes originales du premier Pokemon français.
Petits Pokemons. |
Et, là, ce ne sont pas que des cartes que l'on peut admirer. Ce sont aussi des petits personnages animés (ci-dessus), des jeux vidéos, des livres, des bd et un grand panneau à faire rêver (ci-contre).
Un plaisir de l'œil, une plongée dans un monde imaginaire réjouissant jusqu'au 13 août… Un grand merci à Gwenaël et au Musée pour cette visite unique. Texte et photos PCB
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire