Historim : Qu’est ce que le Printemps de la sculpture ?
Florian : C’est une manifestation née l’an dernier à l’initiative du Département, qui a pour but d’emmener le public le plus large à la découverte de la richesse du patrimoine sculpté de l’ouest francilien, notamment dans la vallée de la culture des Hauts-de-Seine.
L’occasion nous est ainsi donnée à tous de parcourir l’histoire de l’art, de l’antique au plus contemporain, sous un angle peu souvent abordé, celui de la sculpture, à travers ses différentes facettes : le secret des techniques, l’éventail des commandes publiques, les ateliers d’artistes, les trésors cachés …
H. : Combien y a-t-il de monuments commémoratifs dans notre ville et comment as tu récupéré les documents ?
F. : Notre ville est exceptionnellement riche en monuments commémoratifs puisque l’on peut évaluer leur nombre à près d’une trentaine, tout type confondus : monuments aux morts, monuments dédiés à un « Grand Homme » et monuments liés à un événement ou un fait historique. D’une manière générale, la sculpture publique est très bien représentée à Issy-les-Moulineaux où de nombreuses œuvres viennent décorer l’espace public.
H. : Combien y a-t-il de monuments commémoratifs dans notre ville et comment as tu récupéré les documents ?
F. : Notre ville est exceptionnellement riche en monuments commémoratifs puisque l’on peut évaluer leur nombre à près d’une trentaine, tout type confondus : monuments aux morts, monuments dédiés à un « Grand Homme » et monuments liés à un événement ou un fait historique. D’une manière générale, la sculpture publique est très bien représentée à Issy-les-Moulineaux où de nombreuses œuvres viennent décorer l’espace public.
Place du 11 novembre. © A. Bétry |
Particulièrement intéressé par le sujet, je les avais repérées depuis longtemps. Et j’avais déjà bien entamé les recherches. J’étais en train de les finaliser quand le confinement est venu mettre un point d’arrêt à mes investigations. J’ai pu compléter et préciser mes connaissances en allant consulter des sites Internet – dont celui d’Historim bien sûr !
En fait, dans ce projet, ce sont moins les informations qui, au final, m’ont manqué que les illustrations : les photos dont je disposais mi-mars n’étaient que des photos documentaires prises avec mon téléphone portable. La conférence étant programmée pour la fin avril, je préférais attendre le milieu de ce mois – où la végétation est plus propice - pour faire une vraie campagne avec un appareil photographique
H. : Comment et où as-tu tourné ?
F. : Chez moi, bien sûr. Mais je n’avais à fournir que les photos et la bande-son, le montage étant confié à des professionnels.
Pour l’enregistrement, j’ai utilisé le micro qui se trouve sur les écouteurs des téléphones portables. C’est ce que font la plupart des intervenants interviewés à la télévision… J’ai également téléchargé le logiciel (gratuit) Audacity. Il est d’un usage assez convivial. Je n’en ai pas moins dû m’y reprendre à plusieurs fois avant de le maîtriser suffisamment. Le résultat est satisfaisant, même s’il n’est pas aussi bon qu’un travail de professionnel.
Une des difficultés était aussi d’être dans un silence total pour ne pas avoir de bruit parasite en fond sonore. Même en période de confinement, cela ne va pas de soi.
H. : Tes impressions sur cette nouvelle façon de donner une conférence ?
F. : Je vais être honnête : c’est un peu frustrant. Ce qui est agréable dans une conférence, c’est l’interaction avec le public, qui manifeste toujours des réactions au fil de l’exposé, suivant ses intérêts. De même, le jeu des questions-réponses à la fin donne lieu à un échange vraiment plaisant et enrichissant.
Dans le cas présent, la prestation est assez différente : une conférence est destinée à être écoutée - alors qu’ici les « auditeurs » deviennent des « spectateurs » qui vont d’abord être captés par des images. Mais dans les circonstances actuelles, ce mode opératoire s’imposait. Il est même particulièrement adapté au confinement et est susceptible de toucher un public plus large qu’une conférence traditionnelle.
En fait, dans ce projet, ce sont moins les informations qui, au final, m’ont manqué que les illustrations : les photos dont je disposais mi-mars n’étaient que des photos documentaires prises avec mon téléphone portable. La conférence étant programmée pour la fin avril, je préférais attendre le milieu de ce mois – où la végétation est plus propice - pour faire une vraie campagne avec un appareil photographique
F. : Chez moi, bien sûr. Mais je n’avais à fournir que les photos et la bande-son, le montage étant confié à des professionnels.
Pour l’enregistrement, j’ai utilisé le micro qui se trouve sur les écouteurs des téléphones portables. C’est ce que font la plupart des intervenants interviewés à la télévision… J’ai également téléchargé le logiciel (gratuit) Audacity. Il est d’un usage assez convivial. Je n’en ai pas moins dû m’y reprendre à plusieurs fois avant de le maîtriser suffisamment. Le résultat est satisfaisant, même s’il n’est pas aussi bon qu’un travail de professionnel.
Une des difficultés était aussi d’être dans un silence total pour ne pas avoir de bruit parasite en fond sonore. Même en période de confinement, cela ne va pas de soi.
H. : Tes impressions sur cette nouvelle façon de donner une conférence ?
F. : Je vais être honnête : c’est un peu frustrant. Ce qui est agréable dans une conférence, c’est l’interaction avec le public, qui manifeste toujours des réactions au fil de l’exposé, suivant ses intérêts. De même, le jeu des questions-réponses à la fin donne lieu à un échange vraiment plaisant et enrichissant.
Retrouvons vite Florian sur la page Facebook du Musée français de la carte à jouer.
https://www.facebook.com/museefrancaiscarteajouer/videos/235908430981836/?type=2&theater
Un grand merci à lui. PCB
https://www.facebook.com/museefrancaiscarteajouer/videos/235908430981836/?type=2&theater
Un grand merci à lui. PCB
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