Parisienne de naissance, Madeleine a passé son enfance et son adolescence dans le 18e arrondissement où elle s’est mariée. Sa famille travaille dans la restauration, sa mère est employée dans les cantines des écoles de la ville. Elle passe son certificat d’études, suit une formation professionnelle rue Ganneron, est inscrite dans la section de corseterie orthopédique. Elle travaille chez Bernardon rue de la Pépinière dans le 9e, un atelier d’une dizaine de personnes.
La famille habite La Garenne-Colombes dans les Hauts-de-Seine où Madeleine demeure jusqu’en 2003 avant de rejoindre sa fille à Issy-les-Moulineaux et d’emménager à la Résidence du Parc. Là, « on s’amuse », dit-elle. Il est vrai que Madeleine a des semaines bien remplies : informatique le lundi, chorale avec Mireille le mardi, goûter le mercredi, couture et tricot le jeudi, scrabble tous les soirs. Autre temps fort, le gâteau d’anniversaire mensuel : moment convivial fort attendu. Elle tricote des couvertures pour bébé en jouant sur les couleurs des laines et participe aux chants avec l’école La Fontaine toute proche. Elle est tout à fait ravie d’habiter Issy-les-Moulineaux. Quand elle en a envie, elle va voir les canards, les canetons et la tortue du parc Jean-Paul II ou prend le TUVIM (navette gratuite) pour faire ses courses près de la mairie. Au fur et à mesure de la conversation, le passé resurgit chez Madeleine, sous l’œil attendri de sa fille qui la chouchoute et veille discrètement sur son bien-être.
La famille habite La Garenne-Colombes dans les Hauts-de-Seine où Madeleine demeure jusqu’en 2003 avant de rejoindre sa fille à Issy-les-Moulineaux et d’emménager à la Résidence du Parc. Là, « on s’amuse », dit-elle. Il est vrai que Madeleine a des semaines bien remplies : informatique le lundi, chorale avec Mireille le mardi, goûter le mercredi, couture et tricot le jeudi, scrabble tous les soirs. Autre temps fort, le gâteau d’anniversaire mensuel : moment convivial fort attendu. Elle tricote des couvertures pour bébé en jouant sur les couleurs des laines et participe aux chants avec l’école La Fontaine toute proche. Elle est tout à fait ravie d’habiter Issy-les-Moulineaux. Quand elle en a envie, elle va voir les canards, les canetons et la tortue du parc Jean-Paul II ou prend le TUVIM (navette gratuite) pour faire ses courses près de la mairie. Au fur et à mesure de la conversation, le passé resurgit chez Madeleine, sous l’œil attendri de sa fille qui la chouchoute et veille discrètement sur son bien-être.
Christiane ne s’est guère éloignée des bords de Seine où elle est née. Elle suit des études de comptabilité et de secrétariat au collège Paul Painlevé de Courbevoie, ce qui lui permet de travailler ensuite aux lycées de Courbevoie puis de Suresnes, avant d’aller à l’ENNA (Ecole Normale Nationale d’Apprentissage), dans le 16e arrondissement. A la création des IUFM, elle est nommée à sa demande au siège de Versailles. Elle réussit les concours successifs de la fonction publique et gravit les échelons d’une carrière qu’elle termine au CNEFEI (Centre National d’Education et de Formation pour l’Enfance Inadaptée) à Suresnes, au pied du Mont-Valérien. Ses rencontres professionnelles et ses contacts avec les handicapés lui ont beaucoup appris. Elle dit sa soif d’apprendre et de servir les autres : « Je suis une femme de devoir et d’action ».
Elle se consacre à de nombreuses activités et participe à des séjours sportifs (souvenirs de sa jeunesse) avec la MJC et à de la randonnée avec l’association Chemin d’Issy et d’Ailleurs. Membre de la MJC/Espace Icare depuis 1974 (pour le dessin et la peinture), elle participe au chantier de la galerie Espace 31 et à celui d’une MJC au Sénégal. La vie culturelle, la notion de « ce qu’est un citoyen » lui ont été apportées grâce à la MJC dont elle occupe des fonctions importantes à titre bénévole. Elle a contirbué à la création de la première brocante rue de l’Egalité en 1985, limitée à ses débuts à une vingtaine de stands et devenue un temps fort de l’animation de la ville un dimanche de printemps.
Christiane Lalu a été conseillère municipale de 1983 à 2008. Son souci est de privilégier « les liens avec les gens » en étant très présente sur le terrain. Elle s’occupe du service Jeunesse et Sports avec énergie et passion. Elle part en Thaïlande en 2005 avec le Clavim et le comité de jumelage afin d’aider les victimes du tsunami. Cette expérience l’a marquée durablement.
Elle se trouve impliquée dans d’autres domaines : l’urbanisme, la ludothèque, la commission Handicap, la vie des femmes. « Tout doit nous intéresser » déclare-t-elle. Elle voyage beaucoup avec La Maison du Tourisme ; elle a énormément aimé la Chine mais a eu « le déclic pour l’Afrique et l’Inde ».
Elle est aussi un membre éminent du Conseil de quartier Centre Ville et du Comité de jumelage où elle s’implique avec son dévouement habituel. J. Brouillou et P. Maestracci
Christiane Lalu a été conseillère municipale de 1983 à 2008. Son souci est de privilégier « les liens avec les gens » en étant très présente sur le terrain. Elle s’occupe du service Jeunesse et Sports avec énergie et passion. Elle part en Thaïlande en 2005 avec le Clavim et le comité de jumelage afin d’aider les victimes du tsunami. Cette expérience l’a marquée durablement.
Elle se trouve impliquée dans d’autres domaines : l’urbanisme, la ludothèque, la commission Handicap, la vie des femmes. « Tout doit nous intéresser » déclare-t-elle. Elle voyage beaucoup avec La Maison du Tourisme ; elle a énormément aimé la Chine mais a eu « le déclic pour l’Afrique et l’Inde ».
Elle est aussi un membre éminent du Conseil de quartier Centre Ville et du Comité de jumelage où elle s’implique avec son dévouement habituel. J. Brouillou et P. Maestracci
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